Reconnaissance de l’exception du royaume..Un ressortissant français en fait le point

• Saoudi El Amalki //

Notre Nation suscite l’admiration un peu partout dans le monde.

On se souviendra lors du séisme du Haut-Atlas comment la solidarité nationale du peuple marocain avait subjugué un certain Jean-Luc Mélenchon, le leader virevoltant des Insoumis de la classe politique tricolore.

Récemment encore, un octogénaire de l’Hexagone, ancien retraité et ex directeur d’hôtel relevant d’une chaîne mondiale, résident à Agadir, il y a dix-huit ans, en est aussi envoûté et impressionné par l’attitude avenante et hospitalière des citoyens marocains.

Il n’en finit guère de faire l’éloge de cette Nation exemplaire.

Enjoué et conquis de bout en bout par ces vertus dont se singularise le peuple marocain, il n’hésite point d’avancer des comparatifs diamétralement opposés avec son pays, en matière de chevalerie humaine, notamment, la mansuétude, le civisme, le sens d’observation, la conciliation douceur et fermeté, la quiétude, la sociabilité…

En fait, l’ex opérateur du tourisme qui préférait domicilier à Agadir comme havre du troisième âge, au Brésil, au Mexique ou au Bahamas, se la coule douce sous la clémence du climat où il vaque à ses hobbys, tels la natation, l’aérobic ou la marche du haut de ses quatre-vingt ans, avec la cordialité de ses copains de la métropole et sous la convenance de la sécurité régnante.

Un rêve qui l’habite désormais, sans coup férir et dont il est constamment mis en ébranle.

Un rêve bourré de reconnaissance et d’estime pour un peuple en qui il a dorénavant une confiance viscéralement
Ininterrompue jusqu’à son rapatriement, car il ne cessera jamais de croire à cette exception marocaine en humanisme, universalité et tolérante.

Certes, le rêve des marocains est bien autre, celui de la vie décente et prospère, mais, sociabilité oblige, ils ne prétendent nullement rêver en solitaire, car leur rêve est identique à leur vie en communauté, tel que disait le célèbre chanteur des Beatles, John Lennon : «Rêver seul ne reste qu’un rêve, rêver ensemble devient la réalité!».

Ce témoin d’outre-mer, captivé par la noblesse d’un peuple jovial en dépit des affres de son existence, rend hommage au dynamisme des institutions et prévoit un avenir des plus florissants à la capitale du Souss, sous le passage en verve du chef de file.

Un témoignage qui met les sens en baume et réchauffe le cœur, puisqu’il sort d’un vieil homme qui se considère toujours jeune, vivant encore sous le charme de ce pays de rêve!